Témoignage de Nicolas P.J’aurais pu mourir mais je suis encore là...
Jeudi 9 Août 2018, en rentrant de Barcelone où nous avons passé la journée avec ma sœur et mon beau-frère, nous avons eu un terrible accident de voiture.
Vers 23h30, à environ 5 km de la frontière Française vers Puigcerda en Espagne, nous sommes rentrés en collision avec un équidé noir… comprenez un cheval noir. Une bête entre 500 et 600 kg qui divaguait sur la chaussée N260. Je roulais à peine à 80 km/h dans la nuit noire sur une route limitée à 90 km/h. Dans le noir un cheval noir ne se voit pas, surtout avec les feux de croisement pour ne pas aveugler le véhicule que nous allions croiser. Au dernier moment j’ai aperçu juste devant nous l’équidé errant sur la voirie et j’ai freiné en urgence mais n’ai pu l’éviter.
J’ai tout de suite eu le réflexe des gilets fluo pour sortir du véhicule (1 par personne). L’automobiliste qui était derrière moi s’est arrêté juste à temps et nous a demandé si nous allions bien. Moi, ma sœur et mon beau-frère sommes sortis indemnes de cet accident. L’automobiliste de derrière (Espagnol) a immédiatement sécurisé le lieu de l’accident et appelé la police.
La police Catalane est arrivée et a pris toutes les mesures de sécurité et commencé à faire l’enquête pour le procès-verbal. Ils en ont profité ainsi que le dépanneur pour nous dire qu’il y avait déjà eu pire et que nous étions des miraculés...
Le réflexe de freiner que j’ai eu a permis de projeter l’animal vers l’avant ; La masse du véhicule étant transférée vers l'avant, l’animal a été projeté à 13-15 m devant nous et ce dernier n’a donc pas été projeté sur le toit de mon véhicule (voir la photo du véhicule ci-dessous pour comprendre le choc). La police catalane a été très professionnelle et je l’ai remerciée, le conducteur qui suivait était très sympathique et a eu de très bons réflexes comme la sécurisation de la route, ce qui m’a permis de ne pas m’en soucier davantage. Je l’ai aussi remercié.
C’est un miracle ! Oui quand on voit la photo prise le lendemain chez le garagiste, c’est un miracle ! Je suis encore en vie ! Même si j’ai craqué le lendemain avec toutes les émotions qui m’envahissaient, Même si en vidant la voiture c’était particulièrement dur, jamais il ne m’a abandonné.
Si je ne faisais pas confiance à mon Dieu je ne serais peut-être plus là, peut être à l’hôpital ?!
Un chant résonnait dans ma tête après l’accident :
"Tu ne me laisseras, ne me laisseras jamais."Puis les jours suivants un autre m’est venu : Je vous invite à les écouter :
"Jamais, Tu ne m'abandonnes dans le calme ou la tempête Jamais, Tu ne m'abandonnes dans les hauts comme dans les bas Jamais, Tu ne m'abandonnes Dieu, Tu ne m'abandonnes pas."Je sais qu’il y a encore des démarches à effectuer mais je sais aussi que : - Au final je ressortirai meilleur, grandi de cette situation - Mon Dieu ne m’abandonnera jamais - Il multipliera ses bontés envers moi.
Je ne connais aucun autre Dieu qui puisse faire cela. Mon Dieu Jésus Christ en qui j’ai mis toute ma confiance était présent ce soir-là.
Témoignages des enfantsLouis F. (5 ans) - 2018
Triste de ne pas être avec ses copains et son frère (jumeau) à la cantine, Louis est arrivé à la maison en pleurant. En tant que maman, je lui propose le soir au coucher de prier pour cela.
Louis veut commencer le 1er et demande à Jésus que tous ses copains puissent être à sa table ainsi que son frère... En l'écoutant, je pense tout de suite de manière rationnelle (humaine) en me disant que cela n'arrivera jamais et le lui dis en espérant qu'il ne se fasse pas de fausses joies.
Le lendemain, en allant le chercher à l'école, Louis apparait avec un grand sourire sur le visage... Jésus avait répondu à sa prière, non pas à 10%, non pas à 50% mais à 100%... Non seulement, il avait pu manger avec son frère, mais également avec tous ses copains. Vous auriez vu son visage rayonnant de joie et de fierté.
Louis a déjà bien compris que Jésus répondait à ses prières, mais à chaque réponse à ses prières, nous voyons bien en tant que parents que cela décuple sa foi, sa joie et sa fierté d'être entendu et écouté par Dieu.
David F. + Louis F. (5 ans) et Emilie S. (6 ans) - 2017
Lors de leurs vacances chez leur grand-parents, leur oncle Jérémy (frère de J&B) revient d'une séance de kite sur la côte bretonne après avoir secouru une personne.
Malheureusement, il avait dû abandonner sa planche pour pouvoir venir en aide à la personne en détresse qui se rapprochait dangereusement des récifs. Une fois rentré à la nage il n'avait pu remettre la main sur sa planche.
En arrivant chez mes parents, il prend le temps de tout raconter à la famille présente avec donc ses neveux et nièces de 5 ans et 6 ans. Sur la proposition de leur tante (sœur de J&B 🙂 ), les enfants prient pour lui et pour que Dieu retrouve la planche...
Le lendemain, l'homme secouru par mon frère retourna sur la plage où la planche l'attendait !
Non seulement, la planche n'était pas partie au large ou n'avait pas dérivé vers d'autres horizons ou plages, mais en plus, personne n'y avait touché. La personne en question récupéra donc la planche et appela tout de suite Jérémy.
Imaginez la joie des enfants (Louis, David et Emilie) de savoir que Dieu les avait écouté et avait repondu parfaitement à leurs prières en un temps record.
Nous pourrions vous en raconter encore beaucoup concernant les enfants, et ce sera sûrement bientôt le cas tellement Dieu prend soin de nous et en particulier ceux qui naturellement se confient en lui.
C'est rafraichissant de voir la joie que cela procure et la dose de foi que cela donne pour tous les autres moments où la prière est nécessaire et même dans les moments où l'on croit qu'elle ne l'est pas !
Témoignage de JosuéJe m’appelle Josué. Je suis né à Toulouse, dans une famille chrétienne. Les 14 ans à Toulouse sont des années, qui, je le reconnais, se sont passés sans réelle communication avec Dieu. J’allais surtout à l’église pour m’amuser et mes prières étaient superficielles et sans motivation.
Arrivé à Nantes, j’ai ressenti le désir de m’approcher de Dieu. Ce sentiment a été créé par l’accueil que nous avons reçu et surtout par mon intégration au groupe de jeunes. J’ai eu alors envie d’en apprendre plus sur la vie avec Dieu. Ma relation avec Lui ‘est faite sur le long terme en fonction de mes besoins et face aux difficultés. Le désir de connaître Dieu a fait naître en moi la volonté de m’impliquer plus dans la vie de l’église, d’où l’envie de me faire baptiser et de servir le Seigneur.
Une rencontre m’a convaincu que la volonté de me faire baptiser n’était pas un hasard, la volonté de Dieu. Il s’agit du week-end des jeunes avec Nicole Lafrance. J’en ai tiré un bénéfice spirituel qui m’a dynamisé dans ma communion avec Dieu.
Je ne peux pas forcément prétendre vous parler de grandes expériences avec Dieu qui aient contribué à ma conversion. Mais j’ai plusieurs faits au regard desquels je peux dire que Jésus m’a sauvé.
De ma naissance jusqu’à mon départ pour Nantes, cette période de ma vie est bâtie sur des souffrances physiques. Quand je suis né, les médecins ont remarqué que j’avais un problème sur le rein gauche et j’ai du être opéré. Ensuite, les premières consultations chez mon pédiatre ont montré que j’avais un souffle au cœur pouvant m’empêcher de faire du sport ; puis, ce fut une succession d’otites jusqu’à mes 12 ans. Mon pédiatre a déclaré que cette suite d’inflammations avait endommagé mes tympans et que je risquais de devenir malentendant. Enfin, en classe de 6ème, des tests effectués par une psychologue scolaire font découvrir que je suis dyslexique, un handicap pour mes études. Tout le monde disait que je ne dépasserai pas le collège.
Mais jour après jour, le Seigneur a veillé a chacun de mes pas. Aucun de tous ces maux ne m’a empêché d’avancer, et d’avoir de bons résultats, grâce à l’amour de Dieu.
Je veux vivre la destinée que l’Éternel a prévu pour moi et c’est l’Esprit Saint seul qui peut m’y diriger.